« La pièce de Manfridi est un chef d’œuvre… oui il s’en écrit encore. Écho imaginaire de la parole mélancolique d’un poète disparu. Elle instaure la transcendance dans le quotidien avec un minimum d’effets : un malade ridicule refuse de prendre son bain, une servante lui voue un amour sans mots : sublime. Révélation majeure… » (extrait de l’article de C. Liverani dans Cassandre n° 26 décembre 1998).