Les Chroniques de Peter Sanchidrián

de Jose Padilla

Traduit de l'espagnol par Victoria Mariani

Avec le soutien de la MAV

Écriture

  • Pays d'origine : Espagne
  • Titre original : Las crónicas de Peter Sanchidrián
  • Date d'écriture : 2017
  • Date de traduction : 2018

La pièce

  • Genre : comédie teintée de science-fiction
  • Nombre d'actes et de scènes : 5 scènes
  • Décors : divers
  • Nombre de personnages :
    • 24 au total
    • 11 homme(s)
    • 13 femme(s)
    • Certains personnages peuvent être interprétés aussi bien par des hommes que par des femmes car il s’agit d’apparitions brèves de super-héros de bande dessinées.
  • Durée approximative : 90 mn
  • Domaine : protégé

Édition

Résumé

Les Chroniques de Peter Sanchidrián ou comment la fin du monde est déjà là. Une comédie teintée de science-fiction où se côtoient sans ambages navette spatiale, secret de la vie éternelle, clones d’actrice célèbre, patte de singe empaillée capable d’exaucer tous vos vœux les plus chers et super-héros de bandes dessinées. Chaque acte est l’occasion de dresser un portrait des relations humaines dans toute leur complexité mais aussi absurdité.

Regard du traducteur

Les Chroniques de Peter Sanchidrián mêle habilement références pop et problématiques philosophiques pour dresser un tableau des désirs humains en ce début de XXIe siècle. Jose Padilla livre ici une pièce éclectique où se mêlent avant tout la comédie et la science fiction mais aussi l’horreur, le suspens, la romance et le fantastique. Le destin extraordinaire des personnages se teinte de problèmes somme toute très humains, faisant de cette pièce une comédie suscitant le rire, et à travers lui, la réflexion. En partant des grandes thématiques qui ont toujours alimenté l’imaginaire humain - telles que la vie éternelle, la fin du monde, la duplication de soi - , Jose Padilla compose une palette de héros en contact avec l’extraordinaire mais pas pour autant éloignés des problématiques liées au fait d’être humain, de ce « sentiment tragique de la vie » dont parle le philosophe Miguel de Unamuno.