Oulanbekova, riche propriétaire, vit entourée de jeunes serves qu’elle marie à sa guise sans leur demander leur avis. L’une d’elles, Nadia, aime le fils de la maison, Léonide. Leur amour est sincère et beau. Oulanbekova y met une fin brutale. Nadia reste seule, soumise à son chagrin, non sans avoir revendiqué le droit d’aimer librement.
C’était au temps du servage, mais l’émouvante beauté de la pièce réside dans le lumineux lyrisme de Nadia, à rapprocher de