La ronde du carré déploie sur la scène du théâtre – le nôtre bien sûr, celui de nos desseins les plus noirs, les plus extravagants et les plus romanesques – un arc-en-ciel terrorisant et grotesque. Ils sont onze, installés dans des situations tout à fait banales, des histoires d’amour fou, de couple, d’adultère, mus par des sentiments communs et extrêmes, passion, désespoir, vengeance, trahison. Des êtres en quête d’absolu. La Ronde du carré raconte de qui ne se dit pas, ne se fait pas. La sortie de la raison pour le cercle sans fin de la folie et de l’imaginaire. Mythique et humain.