Cette année, le festival propose un focus sur les artistes en exil. Comment, pour qui écrit-on lorsqu'on a dû fuir son pays pour éviter la prison, la torture, la censure ou la mort ? Quatre textes ont été sélectionnés par le comité de lecture du festival :
- Vania est vivant de Natalia Lizorkina, traduit du russe par Elena Gordienko et Antoine Nicolle
- Ma mère et l'invasion à grande échelle de Sasha Denisova, traduit du russe par Gilles Morel et Tania Moguilevskaia
- Le Mur ou l'Éternité d'un massacre de Hatem Hadawy, traduit de l'arabe par Racha Abazied-Sabouret
- Attaque animale de Youlia Toupikina, traduit du russe par Alexis Vadrot et Elena Gordienko
Lectures des quatre textes à l’occasion d’intégrales :
- samedi 13 décembre à l’espace Bernard-Marie Koltès à Metz
- dimanche 14 décembre au Nest de Thionville
- dimanche 21 décembre à l’Escher Theater, Esch-sur-Alzette
Plus de dix ans après la parution du Cahier de la Maison Antoine Vitez – Étonnantes écritures européennes pour la jeunesse, qui mettait en lumière des formes innovantes et proposait de nouveaux rapports au public, qu’en est-il du théâtre à destination des adolescents ?
Le panorama que dessine ce numéro de Sur le ring témoigne d’un champ toujours en mouvement : un théâtre de l’intranquille, plus politique que jamais et, surtout, en quête d’une même justesse, à hauteur d’adolescents.